Add Your Heading Text Here
_ CATÉGORIES
Error: No feed with the ID 2 found.
Please go to the Instagram Feed settings page to create a feed.
SPA PRIVATIF : UN BOOSTER DE BUSINESS
Le spa est-il un miroir aux alouettes ?
Il semble admis qu’à l’instant décisif de la réservation, le choix d’un hébergement équipé d’un bain nordique ou d’un spa privatif l’emporte très souvent. La clientèle est prête à dépenser plus pour profiter d’équipements de loisirs individuels ou familiaux, une expérience bien-être, souvent inédite, qui s’ajoute à celle que l’on recherche dans l’hébergement dit insolite. Les chiffres sont vraiment éloquents. Selon une étude réalisée par la centrale de réservation Abracadaroom* spécialisée dans ce type d’hébergement, les 25 % des logements qui génèrent 50 % des réservations sur leur plate-forme sont ceux qui proposent un spa ou un bain nordique privatif. Pour deux logements équivalents, on constate que celui doté d’un spa de jardin ou d’une petite piscine intérieure sera réservé en moyenne 2,5 fois plus souvent que celui qui en est dépourvu et, levier très important, son prix sera plus élevé et ce jusqu’à 58 % (!)… Des logements louables plus chers qui seront occupés plus fréquemement, voici la promesse.
Alors oui l’effet miroir oui, voir ici, mais pour les alouettes c’est non… Car attention toutefois à ne pas prendre de décision trop hâtive à l’heure de s’équiper d’une mini piscine, d’un spa ou d’un bain nordique pour stimuler l’activité commerciale de son hébergement. Prudence et analyse. Cet investissement se mesure et hormis le coût d’achat d’un bain scandinave ou d’une mini piscine hors sol, c’est l’entretien et le long terme qui peuvent surprendre le propriétaire ou l’hôtelier. Rapide tour d’horizon de ces possibles surprises.
La gestion de l’eau, un point central
L’eau est une ressource à utiliser à bon escient. Il s’agit donc d’en réguler la consommation et de la traiter le plus naturellement possible. Cet enjeu environnemental rejoint celui de l’attractivité : car proposer une eau propre c’est aussi proposer une eau sûre. Si elle saine d’un point de vue bactériologique elle sera belle d’aspect…
Le maintien d’une eau à température de 38° va entraîner une hausse de la consommation d’électricité. Cette différence est particulièrement notable en basse saison lorsque la différence avec l’extérieur est important. Chaque vidange et renouvellement d’eau va entraîner des dépenses électriques et souvent en un temps record, car il ne s’agit pas de pénaliser la rotation et donc votre activité. Dans la même idée de variations constatées avec les saisons, cette fois-ci ce sont les produits de traitements dont la consommation va augmenter l’été : les baigneurs sont plus nombreux, plus fréquents et sont souvent recouverts – hantise des filtres – de différentes crèmes solaires…
Dans cette évaluation des coûts de l’eau, de l’énergie et des produits de traitement, il faut ajouter et prendre en compte le temps que vous – ou votre agent de maintenance – allez consacrer à chaque bain pour les opérations de maintenance. Un spa, une mini-piscine, un jacuzzi, c’est au bas mot 4 ou 5 vidanges par mois et un traitement quotidien incluant les contrôles du ph et du chlore. Contrôles s’avérant fastidieux selon la présence ou non d’outils d’automatisation. Par ailleurs, des dépannages, visites et interventions périodiques seront aussi à planifier. Altipure est très bien placé sur cette question de la maintenance, car la solution de traitement utilisée permet de réduire ce temps de 4 H par semaine à 1 H seulement. C’est assez limpide : moins de vidanges équivaut à moins de temps d’entretien et de contrôle. En tant qu’hôtelier, vous trouvez le temps précieux, celui dont vous disposez pour accueillir et vous occuper de vos clients.
Comment penser à tout ?
Tous ces ajustements sont à anticiper. Et les questions que ne vous posez pas encore, Altipure vous les posera avant de vous lancer dans l’aventure… Car il est nécessaire de dimensionner votre investissement avec une vue plus longue que celle du simple achat d’un équipement. En premier lieu, le choix des matériaux est déterminant : plastique, pin, cèdre, acrylique, inox… Tous n’ont pas la même durabilité, et tous ne présentent pas les mêmes facilités pour leur nettoyage et la limitation du biofilm.
Ensuite la production d’énergie : s’agit-il d’une résistance ? d’une pompe à chaleur ? L’eau, d’où provient-elle ? Comment est-elle évacuée ? Quelles sont les restrictions possibles dans votre département, les recommandations de l’ARS dont vous dépendez ? Tous ces points seront soulevés et il est très difficile d’être parfait sur tous les sujets. Néanmoins, un plan d’investissement bien anticipé vous permettra de répondre à ces problématiques pendant la période d’exploitation. Altipure vous propose de l’aide pour votre analyse : nous sommes en mesure de personnaliser un scénario économique basé sur l’étude votre activité. Nous nous faisons fort de vous accompagner pour ces choix, car s’il faut être précis, le jeu en vaut toutefois la chandelle.
SHARE